Étiquette : métacognition
-
Ce sacro-saint programme scolaire, ou le phantasme d’une culture scolaire qui veut faire rentrer un même rond dans tous les carrés !
« Il faut avoir vu tout le programme », ce fameux prétexte aux décisions prises souvent aux dépens de l’apprenant constitue un des excès de notre culture scolaire. Les enfants acceptent, dans la mesure …
-
L’autoévaluation, s’évaluer, se comprendre soi-même
– Que puis-je penser, ou croire de ce que je suis en train d’apprendre, ou d’enseigner ? – Où en suis-je dans mon travail (pour l’enseignant), dans ma scolarité (pour l’apprenant), suis-je efficace ? – Quelle didactique (façon d’enseigner ou d’apprendre -de s’enseigner- quelque chose) développer ?
-
La leçon particulière, une leçon entre « quat’zyeux et quatr’oreilles »
– Pourquoi un enseignant qui ne réussit pas à faire comprendre un sujet du programme à un de ses élèves, en classe, le réussirait-il lors d’un cours particulier ? Et donc, pourquoi ce jeune apprenant le comprendrait-il mieux entre « quat’zyeux et quatr’oreilles », qu’en classe ? Quand un simple rattrapage est nécessaire. Sinon, un tel enseignement…
-
C’est celui qui explique qui comprend, bien plus que celui qui écoute
Comment savoir si j’ai compris et comment m’y prendre pour comprendre ?
-
Favoriser l’adaptation d’un élève aux exigences des tâches scolaires grâce à une ressource informative professionnelle pratique gratuite
Favoriser l’adaptation d’un élève aux exigences des tâches scolaires grâce à une ressource informative professionnelle pratique gratuite
-
L’Évaluation négative,et l’autojugement dévastateur
La comparaison entre les attitudes d’enseignants de différentes cultures m’amène à cette réflexion. Une caractéristique « bien de chez nous » qui ressort directement de cette comparaison est l’utilisation constante et pas toujours consciente du prisme de l’« évaluation négative, c’est-à-dire s’axer sur le verre à moitié vide, et stigmatiser le vide, plutôt que le plein fait.
-
La maturité et la non-réussite scolaire, un lien trop souvent établi aux dépens de l’apprenant
Amener un élève à refaire une année scolaire parce qu’on le trouve immature revient surtout à retarder son épanouissement global, à le punir pour une chose qui ne dépend ni de sa volonté, ni de celle de ses enseignants, mais qui est liée à son développement neurobiologique.
-
La solitude nécessaire de l’apprenant, la comprendre et la favoriser
Pour réellement comprendre, connaître à long terme un savoir, un savoir-faire, l’élève doit élaborer une relation personnelle avec le sujet de cet apprentissage.
-
Une devinette mathématique à propos du contresens pris depuis longtemps par notre culture scolaire. Et une proposition de réorientation heureuse, positive
Une pédagogie collaborative telle que proposée ici peut s’appliquer sans argent supplémentaire et sans attendre les éventuels changements induits par des projets tels que le « Pacte d’excellence ». Elle s’adaptera.
-
S’instruire soi-même tout en fréquentant l’enseignement obligatoire : une pédagogie anti-dépressive !
Écouter cet article ? Cliquez ci-dessous, notre 1ère Info-audio ! Écouter cet article ? Cliquez ci-dessous, notre 1ère Info-audio ! Le temps est incompressible, irrattrapable par définition, donc le temps scolaire passé confiné, aussi ! Si un enseignant essaie de forcer les élèves à « rattraper la matière non vue à cause des confinements », il contraindra les…